Bernadette : le spectacle à Reims - L'Eglise Catholique à Reims et dans les Ardennes

Agenda du diocèse

Dimanche 14 Avril

Bernadette : le spectacle à Reims

Une histoire extraordinaire

BERNADETTE DE LOURDES est le récit des fascinantes et inspirantes apparitions mariales à la jeune Bernadette SOUBIROUS. C’est à l’aide des comptes rendus officiels qu’il est possible de reconstituer l’aventure de Bernadette et d’en faire un spectacle touchant et fédérateur.

Découvrez le spectacle phare sur la vie de Sainte Bernadette de Lourdes : www.bernadettedelourdes.fr

Réservez vos places : ici

Les paroisses et associations catholiques peuvent s’adresser à la billetterie pour avoir des tarifs de groupe (dès 30 personnes), mais aussi sur le mail : groupes@bernadettedelourdes.fr


LE PARCOURS DE VIE DE BERNADETTE AVANT LES APPARITIONS

Nous sommes le 10 février 1858. A Lourdes, un bourg au pied des Pyrénées, vit une jeune fille de 14 ans appelée Bernadette SOUBIROUS.

Bernadette est née le 7 janvier 1844 au moulin de Boly et elle est l’a1nee d’une fratrie de neuf enfants. Dans ce moulin, les SOUBIROUS menaient une vie ordinaire avec beaucoup d’importance pour la famille et pour l’amour familial. Cet amour qu’elle sent, qu’elle voit et qu’elle vit sera déterminant pour elle.

Le moulin de Boly, que dirige son père François, est assez prospère et la maison d’habitation assez confortable. Ce moulin de Boly fut pour Bernadette le moulin du bonheur avec des parents travaillant et priant.

Puis en dix ans, les coups durs vont se succéder :

  • Au sein de la famille, le décès de plusieurs frères et sœurs, la maladie de Bernadette (atteinte d’asthme et portant les séquelles du cholera), un accident du travail et la perte d’un œil pour le Papa…
  • Au sein de l’activité professionnelle, la révolution industrielle qui provoque la faillite de nombreux petits moulins familiaux comme celui de Boly.

Face à ces épreuves, les Soubirous opposent l’Amour et la Foi qui règnent dans leur famille. Et bien que devenus pauvres et ruines, les Soubirous restent debout.

En juin 1854, ne pouvant plus payer son layer, François le Papa loue successivement des moulins de plus en plus petits et de mains en mains rentables pour arriver, finalement, au Cachot en février 1957. Le Cachot est une pièce unique appelée ainsi car c’était une ancienne cellule de prisonniers et la toute la famille va y être logée gratuitement

François devient alors manœuvre en vendant la force de ses bras à la journée. Louise la Maman fait des ménages et Bernadette l’ainée reste à la maison pour garder ses frères et sa sœur.

C’est l’histoire d’une lente descente sociale, professionnelle et humaine, descente que tant de familles d’aujourd’hui connaissent.

La situation de la famille empirant, François et Louise se décident à envoyer, en septembre 1957, Bernadette à Bartrès (un proche village) pour y effectuer de menus travaux et notamment la garde des moutons chez Marie Lagues. Ce sera une bouche en mains à nourrir pour les parents et cela permettra à Bernadette de manger à sa faim. Bernadette a toutefois pose ses conditions, à savoir d’apprendre le catéchisme et se préparer à sa première communion.

Vu la méchanceté gratuite de sa nourrice à son égard mais aussi au non avancement de la préparation à sa première communion tant espérée, Bernadette prend sa première grande décision et revient au Cachot, avec sa famille, en janvier 1858.

C’est de ce Cachot que Bernadette partira le 11 février 1858 pour aller ramasser du bois (en compagnie de sa sœur Toinette et d’une amie), à la grotte de Massabielle, afin d’alimenter la cheminée du logement familial…


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